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Des Empreintes d'Âmes de Jana Černá
Après le succès en France de Jana Černá pour sa lettre Pas dans le cul aujourd’hui publiée à la Contre-Allée, Mater Editions a le plaisir de traduire pour la première fois un de ses textes les plus puissants, Des Empreintes d’ Âmes (Otisky duší), écrit lors de son incarcération dans une prison pour femmes à Pardubice entre 1963 et 1964. Condamnée pour «parasitisme» et négligence envers ses enfants, elle observe la vie carcérale avec une acuité rare, mêlant prose poétique, reportage et introspection. Ce texte dévoile les logiques d’humiliation, les liens de solidarité entre détenues, les effets de l’enfermement sur le corps et la psyché.
Jana Černá (1928–1981) est une figure underground de la littérature tchèque du XXe siècle. Fille de la journaliste et résistante Milena Jesenská, elle est une héritière de l’indépendance intellectuelle et politique, qu’elle radicalise dans une écriture libre, subversive et profondément intime. Elle participe à la revue clandestine Půlnoc aux côtés d’Egon Bondy, et laisse une œuvre marquée par l’excès, la tendresse, le scandale, la maternité, le désir et la marginalité.
La traduction est confiée à Barbora Faure, qui l’a déjà traduite et également traduit sa mère, Milena Jesenská chez Mater Editions.
Cette publication sera accompagnée d’une préface inédite de la journaliste et écrivaine Alice Babin. Sur les pas de Jana Černá, l’autrice découvre une écriture brute qui refuse de juger et embrasse le chaos humain. De cette voix libre naît une leçon d’acceptation : tout accueillir pour y trouver une force apaisante.
Après le succès en France de Jana Černá pour sa lettre Pas dans le cul aujourd’hui publiée à la Contre-Allée, Mater Editions a le plaisir de traduire pour la première fois un de ses textes les plus puissants, Des Empreintes d’ Âmes (Otisky duší), écrit lors de son incarcération dans une prison pour femmes à Pardubice entre 1963 et 1964. Condamnée pour «parasitisme» et négligence envers ses enfants, elle observe la vie carcérale avec une acuité rare, mêlant prose poétique, reportage et introspection. Ce texte dévoile les logiques d’humiliation, les liens de solidarité entre détenues, les effets de l’enfermement sur le corps et la psyché.
Jana Černá (1928–1981) est une figure underground de la littérature tchèque du XXe siècle. Fille de la journaliste et résistante Milena Jesenská, elle est une héritière de l’indépendance intellectuelle et politique, qu’elle radicalise dans une écriture libre, subversive et profondément intime. Elle participe à la revue clandestine Půlnoc aux côtés d’Egon Bondy, et laisse une œuvre marquée par l’excès, la tendresse, le scandale, la maternité, le désir et la marginalité.
La traduction est confiée à Barbora Faure, qui l’a déjà traduite et également traduit sa mère, Milena Jesenská chez Mater Editions.
Cette publication sera accompagnée d’une préface inédite de la journaliste et écrivaine Alice Babin. Sur les pas de Jana Černá, l’autrice découvre une écriture brute qui refuse de juger et embrasse le chaos humain. De cette voix libre naît une leçon d’acceptation : tout accueillir pour y trouver une force apaisante.